Pendant que le coronavirus faisait des ravages dans le monde entier, les pays de l’Afrique de l’Est ont eu bien plus encore de soucis. En effet, l’invasion de criquets a réduit radicalement les ressources de ces pays. De 2020 à 2021, cette dernière continue de détruire les plantations des agriculteurs.
Quelle est l’explication de la FAO sur cette contamination
La première invasion de criquets pèlerins eut lieu vers fin 2019. Cette dernière se comptait en des centaines de milliards par colonies et détruisait peu à peu les cultures. Selon la FAO, ces insectes annonçaient le début d’une grande crise alimentaire en Somalie, Kenya et autres. Les vagues de 2020 comportent quant à elle des milliards de criquets dans chaque colonie. Ainsi, la nouvelle invasion de 2021 annonce plus de dégâts matériels et économiques selon les Nations Unies. Les études démontrent que chaque criquet consomme le double de son poids. Ce dernier est estimé à 2 kg alors la destruction en masse des végétaux peut prendre moins d’une seconde pour 200 m2 espaces verts.
Que réserve cette nouvelle invitation aux agriculteurs
Les œufs pondus en cette année par les adultes de l’invasion dernière non pas encore éclosent. C’est ce qui fait la tranquillité des agriculteurs en ces derniers mois. Après les fortes pluies de mars et avril annonçant le début des semences, ces bébés vont sortir de leurs coquilles. Sur cette base d’éclosion de milliers de milliards d’œufs, les prévisions estiment l’invitation plus forte.
Les insectes ont déjà migré vers d’autres régions frontalières au Kenya et à la Somalie. Des rumeurs annoncent la venue des criquets en Afrique de l’Ouest et du Sud. Cette information est totalement sans fondement et ne risque pas de se produire. Les régions de l’Afrique de l’Ouest sont en toute sécurité d’invasion et l’utilisation des insecticides leur donne une certaine assurance.